Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Si on parlait...

... cinéma, manga, série et littérature ? ça vous tente?

Last Chance Hotel / Reaper

David J. Collins
Last Chance Hotel / Reaper
Last Chance Hotel / Reaper

On appelle cela une série Z parce qu’il n’existe pas de lettre dans l’alphabet au-delà du Z pour désigner un film en dessous des pâquerettes. Bon, d’accord, je n’ai pas complètement été dégoûté de perdre une heure devant ce truc mais je tiens à souligner que je n’ai pu aller au bout (bah oui, puisque je n’ai perdu qu’une heure devant !). D’abord, découvrir Shayla Beesley n’est pas dénué d’intérêts à plus d’un titre même si, il faut le reconnaître, elle réussira plus par sa plastique que par son jeu (qui pourtant a quelques petits trucs sympas). Et puis on retrouve des pointures des seconds rôles...

Envy

David J. Collins
Envy
Envy

Ça commence vulgairement par une question qui nous concerne tous : comment se débarrasser de la merde ? Ce qui aurait pu facilement tourner à la débauche complète comme les ricains ont déjà su nous en donner, le film devient une satire de la société basée sur la recherche absolue du succès, le rêve américain, la jalousie… Jamais très subtil, le propos est justement appuyé par toutes ces exubérances, jouant l’effet de miroir et n’en reste pas moins une comédie familiale plaisante à regarder.

Dôme (Stephen King)

David J. Collins
Dôme (Stephen King)
Dôme (Stephen King)

En poche, c’est près de 1600 pages de folie pure. Mais là où ça diffère des autres King, c’est que l’élément fantastique n’est qu’un déclencheur et ne vient jamais interférer sur ce qui est le plus important dans cette œuvre : les personnages. Car toute l’horreur qui découle de la présence de ce dôme, n’est du fait que de la folie grandissante de ceux qui y sont enfermés. Combat perpétuel entre le totalitarisme et la démocratie (voire l’instinct de survie et de liberté), King ne ménage personne. Il n’a pas froid aux yeux en se débarrassant de ces personnages parfois, (souvent même) de manière aussi...

The Voices

David J. Collins
The Voices
The Voices

Les prémices de Deadpool ? Ce qui s’annonçait comme un pur délire cynique, badigeonné d’humour noir et saupoudré de gore tient ses promesses sur quelques minutes seulement. On se rend vite compte que le film va patauger péniblement pour se sortir du marais dans lequel il s’est embourbé. Pourtant, certains aspects ne sont pas dénués d’intérêt. Le côté psychologique notamment. Malheureusement, rien n’est exploité à fond. Du coup, on assiste impuissant à un gâchis monumental dont on pouvait tant espérer. Jamais réellement drôle, jamais réellement flippant, ni angoissant, ni inquiétant, le mélange...

Night Run

David J. Collins
Night Run
Night Run

Ça fait maintenant quelques années que Liam Neeson se cantonne à de l’alimentaire, avec de petites série B plus ou moins bonnes, plus ou moins intéressantes. Une chose reste immuable cependant : son rôle d’ancien quelque chose déprimé, au bout du rouleau et pourtant seul rempart contre le mal. Pourtant, ici, le mal c’est lui ou du moins, il en fait partie puisqu’il y a plus fort que lui. Homme de main de la mafia, il reçoit un contrat sur la tête... de son fils. Ne pouvant se résigner à tuer le rejeton, il trahi sa seconde famille. Et comme si cela ne suffisait pas, il colle une balle au fils du...