Nullissime ! A balancer dans les méandres de l'oubli ! Le problème avec les héros de DC, c'est que bien souvent, ils n'ont aucun volume. Green Lantern ne fait pas exception. Parce qu'il accepte tout, le film est plat, sans âme. Le méchant est là juste parce qu'il en faut un mais il ne sert à rien. Les effets spéciaux aussi bons soient-ils ne servent pas l'histoire et remplisse de FX qu'il faut absolument mettre dans un film de nos jours... Bref ! Vive Marvel !
Bof ! Je ne dénigre pas la qualité de ce film. La réalisation de Scorcese, le jeu de Di Caprio sauvent le tout à mon sens. Sans eux, il n'aurait été qu'un film perdu parmi tant d'autres au milieu des films médiocres comme le cinéma sait si bien nous en donner ! La faute à quoi ? A la compréhension de ce tout ce qui va découler après une première petite demi-heure. Quand on comprend ce qu'il en est, le film n'a plus vraiment d'intérêt dans son intrigue. On s'y ennuie donc et on est sauvé par la mise en scène particulière de Scorcese et l’ambiance très malsaine et angoissante. Mais on passe son temps...
Bof ! Les pièces se placent rapidement sur l’échiquier au long d’une première demi-heure assez prometteuse. 6 balles, 5 victimes, forcément : problème ; et un suspect que l’on montre d’emblée comme accusé à tort. Vient alors le nom de Jack Reacher, une sorte de légende mi Sherlock Holmes, mi Batman. Enigmatique et très particulier, il s’engage sur une affaire qui lui parait de plus en plus étrange et à nous aussi. Seulement voilà, le film devient vite un pétard mouillé où très peu de choses peuvent être sauvées. On nous promet, on nous promet, on nous promet pour au final ne rien nous donner. Si...
Nullissime ! A balancer dans les méandres de l'oubli ! Que fallait-il attendre d’une adaptation d’un jeu vidéo de voitures ? Une histoire écrite sur un post-it, des play-boys traumatisés au regard sombre et fuyant, macho dans l’âme, au volant de bagnoles surpuissantes, l’éternel black qui doit désamorcer le scénario et qui le fait si bien qu’il en est gonflant, la pépé blondinette écervelée (pléonasme, oui je sais) qui sert juste de faire valoir au macho qui n’en a pas besoin (ben oui, puisque c’est un macho !)… Voilà ! Ça, c’est le cliché. Et Need for speed respecte scrupuleusement la règle. A...
Nullissime ! A balancer dans les méandres de l'oubli ! On pensait toucher le fond avec le premier opus mais force est de constater qu'on peut aussi donner dans la surenchère du ridicule. Comment faire pire que "Les 4 Fantastiques"? Vous en faites un second où la seule séquence digne de ce nom se retrouve dans la bande annonce du film. Entre humour branquignole foireux "pipi-caca" et la vie privée tourmentée de nos héros enfermés dans un appart, on n'a pas beaucoup à espérer. Je me suis même endormi 20 minutes sans perdre le fil de l'histoire. Ce personnage de Surfer d'Argent est des plus intéressants...
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