Nullissime ! A balancer dans les méandres de l'oubli ! La prouesse de ce film est une scène absolument énorme qui mettra du temps avant d'être surpassée : Reed Richard étire le bras pour récupérer du PQ dans la pièce d'à côté... A part ça ? Ben quoi ? Qu'attendez-vous d'un type qui est capable de filmer une débilité pareille ?
Nullissime ! A balancer dans les méandres de l'oubli ! Pathétique... et c'est dur de faire au moins 50 caractères sur du vide absolu doublé du néant enroulé dans un trou noir... Ah bah tiens, j'ai réussi !
Pas si mal ! La première chose qui frappe dans « Prisoners », c’est la réalisation soignée et old school. Pas de caméra qui virevolte dans tous les sens pour soit disant appuyer l’action (même si à la base ce n’est pas un film d’action, il y a quand même quelques passages vitaminés). Le réalisateur pose sa caméra et joue avec ses acteurs, leurs mouvements, compose son image, la recadre sans cesse grâce à son décor très atypique. L’ambiance est assez sombre, que ce soit à travers des personnages ou du climat très porté sur la grisaille et la pluie. Ambiance très « Seven » donc sans pour autant donner...
Bof ! A l'instar de "Tron, l'héritage", "Oblivion" est mou du genoux. Rien de bien palpitant dans cette SF où, encore une fois, tout semble déjà vu. Les paysages somptueux et quelques prises de vue sublimes sauvent quelque peu le tout de la catastrophe absolue. Seulement, une jolie carte postale n'est pas vraiment tout ce qu'on attend d'un film... Tom Cruise fait du Tom Cruise à vouloir tirer toute la couverture à lui et avec ses mimiques qui n'apportent plus rien d'original. Côté effets spéciaux, ça se défend mais encore une fois, tout est plombé par cette réalisation mollassonne.