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Si on parlait... ... cinéma, manga, série et littérature ? ça vous tente?

cinema

Hôtel transylvania

David J. Collins
Hôtel transylvania
Hôtel transylvania

Vampire, vous avez dit vampire... Ce qui m’aura le plus frappé dans ce film, ce sont les textures, la lumière et l’animation. Parce que pour le reste, il n’y a vraiment rien de transcendant. L’histoire est d’une banalité à faire peur et l’humour que l’on disait décapant se résume en fait à quelques gags pipi-caca. Le bestiaire fantastique n’est qu’un prétexte pour remplir un tant soit peu le vide qui l’entoure. La morale et l’histoire d’amour dite impossible ont été maintes fois éculées si bien qu’il ne reste plus rien ou du moins pas grand-chose à se mettre sous la dent. Les personnages peu originaux...

L'étrange pouvoir de Norman

David J. Collins
L'étrange pouvoir de Norman
L'étrange pouvoir de Norman

Lève-toi et marche. Il faut tout d’abord digérer le charact-design. Faut dire ce qui est : mise à part Norman, les autres personnages ne sont pas beaux, avec un facies un peu difficile à avaler, ce qui m’a empêché de rentrer complètement dans le film. Du moins au début. Lui ayant laissé sa chance, je suis allé jusqu’au bout pour saluer l’animation, le rendu, l’ambiance très Burtonnienne (dans sa gloire passée ; c’est quand même fou de voir des gens faire mieux que Burton lui-même !) où fleurissent mille et une références au cinéma d’épouvante, à cet humour un peu trash et décalé et à cette émotion...

Le dernier pub avant la fin du monde

David J. Collins
Le dernier pub avant la fin du monde
Le dernier pub avant la fin du monde

Le barathon infernal. La bande de trublions est de retour ! Ouep ! Seulement, on se demande un peu ce qu’ils ont voulu faire là… ça démarre pourtant très bien, avec un très bon humour à la british, un besoin de nostalgie, d’un retour aux sources, que l’on ne peut que comprendre, même si on n’est pas porté sur la boisson. Le syndrome de Peter pan est plutôt bien pensé, bien amené et bien analysé. Pourtant, lorsque la partie science-fictionnelle démarre sans vraiment que l’on s’y attende, on bascule dans un autre monde. Un monde moins assumé et c’est là la faiblesse du film. On sent que ça part en...

Repo Men

David J. Collins
Repo Men
Repo Men

Tu ne peux plus payer ? Chosis entre ta rate ou le coeur ! L’idée est géniale et le traitement cynique au possible rend le film des plus plaisants, voire presque jouissif avec un Jude Law et un Forest Whitaker survoltés. Ça c’est pour la première demi-heure. Parce que pour ce qui est de la suite, c’est loin d’être aussi bon. Durant cette première demi-heure, si on découvre les enjeux, cette vie futuriste, ce cynisme basé sur l’appât du gain, nous renvoyant en pleine figure notre propre société, on attend tout de même le grain de sable qui va faire basculer le tout. Quand ce grain de sable survient,...

John Wick

David J. Collins
John Wick
John Wick

Tout en finesse, mouahahah ! Keenu Reeves décime la totalité de la distribution en moins d’1h20 (faut compter un bon quart d’heure d’exposition). Ça défouraille sec, autant le dire, rien de subtile là-dedans au point que l’on pense que l’acteur prend un malin plaisir à tirer une balle dans la tête de ses adversaires. Le propos devient grotesque lorsqu’on se remémore pourquoi il décide de se mettre en colère : pour un clébard et une bagnole. Et lorsqu’il explique ses véritables motivations (parce que faut bien que le gentil, comme le méchant, explique un jour ce qui le motive), pas d’émotion, juste...

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